Catherine a réalisé son baccalauréat en droit ainsi que ses études supérieures en droit notarial à l’Université de Sherbrooke. Elle a représenté son université au concours canadien Laskin, qui consiste à débattre d’un sujet d’actualité qui relève de la juridiction de la Cour fédérale du Canada. Elle exerce aujourd’hui sa pratique dans les domaines de l’immobilier et de la protection d’actifs. Afin d’offrir un service complet, elle n’hésite pas à interagir avec les conseillers des clients, permettant ainsi de créer des liens privilégiés avec des partenaires de différents milieux. Elle a également été capitaine d’une équipe au Relais pour la vie et a participé au 48 heures de vélo pour la fondation Fais-Un-Vœu. Puis tout récemment, elle a pris part aux 24 heures de Tremblant. Catherine est présentement en train de compléter sa maitrise en administration des affaires (MBA) à l’Université du Québec en Outaouais (UQO).
Qu’est-ce que tu écoutes dans ton auto ?
Mes dernières découvertes ou les dernières chansons de mes artistes préférés. Il faut que ce soit entraînant, mais pas trop. Ça me permet de mettre la « switch à off ».
Veux-tu des enfants ?
Certainement. Je me vois très bien jouer les rôles de notaire accomplie et de mère de famille dévouée.
Qu’est-ce qui t’a poussée à devenir notaire ?
C’est le désir d’aider mes clients à protéger leur patrimoine. Travailler tous les jours sans savoir si on va arriver à la fin du mois, c’est insécurisant. Je leur apporte alors la tranquillité d’esprit : s’ils leur arrivent quelque chose, leur famille, leurs employés et leurs partenaires d’affaires seront protégés, en sécurité.
Est-ce que ta vision du métier a changé depuis que tu es entrepreneure ?
Oui. Je comprends maintenant mieux mes clients qui sont dans les affaires, le stress qu’ils peuvent ressentir et leur désir de protéger leur patrimoine.
Quel principe guide tes faits et gestes ?
En essayant d’atteindre la perfection, on a la chance d’arriver à l’excellence.
Catherine est une femme très entreprenante, avec elle, on ne reste pas longtemps face à un problème sans solution.
Catherine est une grande sportive qui n’a pas peur de s’impliquer dans diverses causes caritatives!
Si l’on pouvait qualifier Catherine en seulement deux mots, ce serait la persévérance et le dépassement de soi. Nul doute que ses expériences ont contribué à développer sa soif de liberté et d’authenticité.
1,9 kilomètres à la nage, 90 km en vélo et 21,1 km en course à pied : voilà le défi qu’a relevé Catherine en réalisant son premier demi-ironman à Mont-Tremblant en juin 2017. Une performance qui demande une importante dose de dépassement de soi ! « Cela va au-delà des capacités physiques. C’est surtout mental. Quand tu penses que tu n’es plus capable, tu es encore capable. » explique l’athlète.
Toutefois, elle se fait un devoir de maintenir un équilibre afin de ne pas « briser la machine » et de continuer à pratiquer sa discipline encore longtemps. Pour elle, l’alimentation, le repos et le bien-être sont aussi importants que l’entraînement physique.
Lorsqu’une soirée de travail l’attend et que la fatigue se fait sentir en fin d’après-midi, elle sort courir. Elle expulse son stress et ses tensions au rythme de ses foulées. Puis, après un léger repas, elle se sent d’attaque pour reprendre le boulot, à tête reposée.
La jeune femme a appris beaucoup de ses parents, qui lui ont fait comprendre très jeune la persévérance et la valeur de l’effort. Comme elle le dit : « Si je suis comme je suis aujourd’hui, c’est en partie grâce à eux. »
À la fin de son cégep, elle prend une année de congé pour aller parfaire son anglais en travaillant comme «nanny» aux États-Unis. Le meilleur des deux mondes : habiter dans une famille aisée et voyager, tout en étant payée.
Elle qualifie son expérience de voyage à la fois touristique et intérieur. Elle a appris à ne pas juger les gens au premier coup d’œil et à cerner leurs besoins selon leur situation et non en se basant seulement sur sa propre perception.
Elle fait également le parallèle entre son travail auprès des enfants et de sa clientèle actuelle. C’est en décodant les paroles et les non-dits qu’elle arrive à cerner les véritables problèmes et à proposer des solutions qui conviennent aux besoins ciblés.
À la fin de ses études, elle reçoit une proposition qu’elle ne peut refuser. Encore une fois, le meilleur des deux mondes s’offre à elle : pratiquer le métier qu’elle aime dans un cadre enchanteur, près des montagnes et des lacs. Ce choix entraîne néanmoins des répercussions importantes : s’éloigner de sa famille et de ses amis. Mais c’est un choix qu’elle assume pleinement.
Bien qu’elle travaille dans un cabinet bien établi qui jouit d’une excellente réputation, elle sent qu'elle peut pousser plus loin son potentiel et aspire à une pratique différente qui lui ressemble davantage.
La vie fait bien les choses puisqu’elle trouve rapidement des partenaires qui partagent la même vision du notariat, soit un domaine qui peut être pratiqué par des jeunes dynamiques. Après avoir pesé le pour et le contre entre prendre la relève d’un cabinet existant ou en fonder un, le trio décide de créer son entreprise afin d’y bâtir des assises correspondant en tout point à leurs valeurs et leur vision.
Malgré les sacrifices et les barrières à franchir, elle n’a jamais regardé en arrière. Pour elle, chaque jour est un défi et c’est ce qui la stimule et lui donne l’énergie pour continuer. Rester elle-même et pouvoir explorer de nouvelles avenues pour offrir le meilleur service à la clientèle qui soit, voilà ce qu’elle a gagné en fondant VSB notaires en compagnie de Timothée et Jean-Philippe.
Si l’on pouvait qualifier Catherine en seulement deux mots, ce serait la persévérance et le dépassement de soi. Nul doute que ses expériences ont contribué à développer sa soif de liberté et d’authenticité.
1,9 kilomètres à la nage, 90 km en vélo et 21,1 km en course à pied : voilà le défi qu’a relevé Catherine en réalisant son premier demi-ironman à Mont-Tremblant en juin 2017. Une performance qui demande une importante dose de dépassement de soi ! « Cela va au-delà des capacités physiques. C’est surtout mental. Quand tu penses que tu n’es plus capable, tu es encore capable. » explique l’athlète.
Toutefois, elle se fait un devoir de maintenir un équilibre afin de ne pas « briser la machine » et de continuer à pratiquer sa discipline encore longtemps. Pour elle, l’alimentation, le repos et le bien-être sont aussi importants que l’entraînement physique.
Lorsqu’une soirée de travail l’attend et que la fatigue se fait sentir en fin d’après-midi, elle sort courir. Elle expulse son stress et ses tensions au rythme de ses foulées. Puis, après un léger repas, elle se sent d’attaque pour reprendre le boulot, à tête reposée.
La jeune femme a appris beaucoup de ses parents, qui lui ont fait comprendre très jeune la persévérance et la valeur de l’effort. Comme elle le dit : « Si je suis comme je suis aujourd’hui, c’est en partie grâce à eux. »
À la fin de son cégep, elle prend une année de congé pour aller parfaire son anglais en travaillant comme «nanny» aux États-Unis. Le meilleur des deux mondes : habiter dans une famille aisée et voyager, tout en étant payée.
Elle qualifie son expérience de voyage à la fois touristique et intérieur. Elle a appris à ne pas juger les gens au premier coup d’œil et à cerner leurs besoins selon leur situation et non en se basant seulement sur sa propre perception.
Elle fait également le parallèle entre son travail auprès des enfants et de sa clientèle actuelle. C’est en décodant les paroles et les non-dits qu’elle arrive à cerner les véritables problèmes et à proposer des solutions qui conviennent aux besoins ciblés.
À la fin de ses études, elle reçoit une proposition qu’elle ne peut refuser. Encore une fois, le meilleur des deux mondes s’offre à elle : pratiquer le métier qu’elle aime dans un cadre enchanteur, près des montagnes et des lacs. Ce choix entraîne néanmoins des répercussions importantes : s’éloigner de sa famille et de ses amis. Mais c’est un choix qu’elle assume pleinement.
Bien qu’elle travaille dans un cabinet bien établi qui jouit d’une excellente réputation, elle sent qu'elle peut pousser plus loin son potentiel et aspire à une pratique différente qui lui ressemble davantage.
La vie fait bien les choses puisqu’elle trouve rapidement des partenaires qui partagent la même vision du notariat, soit un domaine qui peut être pratiqué par des jeunes dynamiques. Après avoir pesé le pour et le contre entre prendre la relève d’un cabinet existant ou en fonder un, le trio décide de créer son entreprise afin d’y bâtir des assises correspondant en tout point à leurs valeurs et leur vision.
Malgré les sacrifices et les barrières à franchir, elle n’a jamais regardé en arrière. Pour elle, chaque jour est un défi et c’est ce qui la stimule et lui donne l’énergie pour continuer. Rester elle-même et pouvoir explorer de nouvelles avenues pour offrir le meilleur service à la clientèle qui soit, voilà ce qu’elle a gagné en fondant VSB notaires en compagnie de Timothée et Jean-Philippe.
Catherine a réalisé son baccalauréat en droit ainsi que ses études supérieures en droit notarial à l’Université de Sherbrooke. Elle a représenté son université au concours canadien Laskin, qui consiste à débattre d’un sujet d’actualité qui relève de la juridiction de la Cour fédérale du Canada. Elle exerce aujourd’hui sa pratique dans les domaines de l’immobilier et de la protection d’actifs. Afin d’offrir un service complet, elle n’hésite pas à interagir avec les conseillers des clients, permettant ainsi de créer des liens privilégiés avec des partenaires de différents milieux. Elle a également été capitaine d’une équipe au Relais pour la vie et a participé au 48 heures de vélo pour la fondation Fais-Un-Vœu. Puis tout récemment, elle a pris part aux 24 heures de Tremblant. Catherine est présentement en train de compléter sa maitrise en administration des affaires (MBA) à l’Université du Québec en Outaouais (UQO).
Qu’est-ce que tu écoutes dans ton auto ?
Mes dernières découvertes ou les dernières chansons de mes artistes préférés. Il faut que ce soit entraînant, mais pas trop. Ça me permet de mettre la « switch à off ».
Veux-tu des enfants ?
Certainement. Je me vois très bien jouer les rôles de notaire accomplie et de mère de famille dévouée.
Qu’est-ce qui t’a poussée à devenir notaire ?
C’est le désir d’aider mes clients à protéger leur patrimoine. Travailler tous les jours sans savoir si on va arriver à la fin du mois, c’est insécurisant. Je leur apporte alors la tranquillité d’esprit : s’ils leur arrivent quelque chose, leur famille, leurs employés et leurs partenaires d’affaires seront protégés, en sécurité.
Est-ce que ta vision du métier a changé depuis que tu es entrepreneure ?
Oui. Je comprends maintenant mieux mes clients qui sont dans les affaires, le stress qu’ils peuvent ressentir et leur désir de protéger leur patrimoine.
Quel principe guide tes faits et gestes ?
En essayant d’atteindre la perfection, on a la chance d’arriver à l’excellence.
Catherine est une femme très entreprenante, avec elle, on ne reste pas longtemps face à un problème sans solution.
Catherine est une grande sportive qui n’a pas peur de s’impliquer dans diverses causes caritatives!