Son parcours universitaire et professionnel est parsemé de distinctions : inscription à la liste d’excellence de la Faculté de droit pour la qualité de son dossier scolaire ; bourse de la Chaire du notariat ; Prix Spiegel Sohmer pour excellence en droit fiscal et commercial ; Prix d’excellence de la Chambre des notaires du Québec ; diplômé de la 4ème Université Mondial du Notariat qui s’est déroulée à Buenos Aires. Il a été inscrit au tableau de l’Ordre des notaires en 2016 et exerce sa pratique principalement en droit immobilier et en droit commercial et en droit des affaires. Il s’intègre de plus en plus au sein de la communauté juridique de la région de Mont-Tremblant, ville dont il est originaire. Timothée complète actuellement sa maitrise en fiscalité au HEC Montréal.
Timothée, que fais-tu pour décompresser et ne penser à rien ?
Il n’y a rien de mieux que d’écouter une émission — en ce moment, j’écoute The Walking Dead — en buvant une bonne bière (une… pas cinq !).
Mis à part ton métier, qu’est-ce qui te passionne ?
La bourse. J’aime regarder les mouvements boursiers et essayer de comprendre comment cela fonctionne.
Que retrouve-t-on sur ta table de chevet en ce moment ?
Petit cours d’autodéfense intellectuelle, de Normand Baillargeon. C’est la quatrième fois que je le lis. Même si je ne suis pas d’accord avec toutes ses prises de position, j’aime sa façon de mettre en lumière nos façons de réfléchir. Il s’agit d’une véritable initiation à la pensée critique.
Est-ce que tu veux des enfants ?
Dans le meilleur des mondes, j’aimerais en avoir quatre.
Timothée est un gars très intelligent à l’esprit cartésien.
Timothée est un homme hyper charismatique, sérieux et à la fois rigolo!
Il était une fois un jeune notaire ambitieux au passé tumultueux, qui a failli passer à côté de sa destinée. En effet, alors qu’il étudiait au baccalauréat en sécurité et études policières, le professeur de droit constitutionnel de Timothée lui mentionne qu’il a un talent inné pour le droit et qu’il devrait envisager de changer de programme. Insulté par cette réflexion non sollicitée, il rejette l’idée… avant de revenir sur sa décision. Revenons un peu en arrière…
Le secondaire de Timothée est teinté de musique et de politique. Alors que les autres gars de son âge jouent au hockey et pensent aux filles, il s’intéresse plutôt à la politique, aux mouvements de masse et aux grands conflits mondiaux. Il lira même la Loi constitutionnelle de 1982… sans en comprendre le sens. Mais ce n’est qu’une question de temps.
C’est au cégep que la situation se gâte. Bien qu’il soit une bonne personne, il subira l’influence négative de certains pairs. Il lâche l’école pour jouer de la musique. Pendant quatre ans, il goûtera au vedettariat et aux excès mondains qui s’y rattachent.
Un moment donné, il commence à en avoir assez de cette vie sans objectifs sérieux, ni plans réels. Il sait qu’il a quitté le droit chemin depuis un bon moment. Alors, il quitte son groupe de musique et Montréal pour retourner dans son patelin natal pour repartir à zéro. Et c’est le cas ! La vedette frappe un mur : personne ne veut l’engager. Grâce à un contact d’un ami, on lui donnera enfin une chance. C’est alors qu’il devient cuisinier dans un restaurant de Mont-Tremblant, La Forge Bar & Grill : un premier pas dans la bonne direction.
Mais Timothée aspire à mieux, veut être utile à la société, et retourne au cégep. Sa peur : tomber encore une fois sous l’influence de mauvaises personnes. C’est pourquoi il s’astreint à une routine exigeante. Il ne veut tellement pas replonger qu’il va au cégep même les jours où il n’a pas de cours pour réaliser ses travaux et étudier.
Puis, c’est lors de sa première année au baccalauréat en sécurité et études policières qu’il renoue avec le droit pénal et constitutionnel. Son professeur voit son don, son énorme potentiel. Toutefois, apeuré d’être encore une fois influencé, son mécanisme de défense se met en marche et il refuse catégoriquement de changer de programme. Mais Timothée finit par se rendre à l’évidence et se dirige en droit, puis en notariat où il excelle. Il reçoit même la bourse d’excellence du doyen de l’Université de Montréal.
À la fin de ses études, il réalise un stage dans un cabinet avant d’y être engagé. Toutefois, il se rend rapidement compte que la direction ne partage pas les mêmes valeurs et la même vision du notariat que lui. Sa phobie d’être influencé le pousse à prendre, une fois de plus, sa destinée en main, ce qui le mènera à fonder son propre cabinet, VSB notaires, avec deux autres collègues.
Aujourd’hui, il est fier d’avoir une entreprise à son image. Ce qu’il aime par-dessus tout dans son métier, c’est d’expliquer le plus simplement possible des notions abstraites afin d’aider les gens à faire de meilleurs choix, à prendre des décisions éclairées.
Timothée connaît les répercussions que peuvent engendrer de mauvais choix. Aider les gens constitue, en quelque sorte, une façon de compenser ses expériences de jeunesse.
Il était une fois un jeune notaire ambitieux au passé tumultueux, qui a failli passer à côté de sa destinée. En effet, alors qu’il étudiait au baccalauréat en sécurité et études policières, le professeur de droit constitutionnel de Timothée lui mentionne qu’il a un talent inné pour le droit et qu’il devrait envisager de changer de programme. Insulté par cette réflexion non sollicitée, il rejette l’idée… avant de revenir sur sa décision. Revenons un peu en arrière…
Le secondaire de Timothée est teinté de musique et de politique. Alors que les autres gars de son âge jouent au hockey et pensent aux filles, il s’intéresse plutôt à la politique, aux mouvements de masse et aux grands conflits mondiaux. Il lira même la Loi constitutionnelle de 1982… sans en comprendre le sens. Mais ce n’est qu’une question de temps.
C’est au cégep que la situation se gâte. Bien qu’il soit une bonne personne, il subira l’influence négative de certains pairs. Il lâche l’école pour jouer de la musique. Pendant quatre ans, il goûtera au vedettariat et aux excès mondains qui s’y rattachent.
Un moment donné, il commence à en avoir assez de cette vie sans objectifs sérieux, ni plans réels. Il sait qu’il a quitté le droit chemin depuis un bon moment. Alors, il quitte son groupe de musique et Montréal pour retourner dans son patelin natal pour repartir à zéro. Et c’est le cas ! La vedette frappe un mur : personne ne veut l’engager. Grâce à un contact d’un ami, on lui donnera enfin une chance. C’est alors qu’il devient cuisinier dans un restaurant de Mont-Tremblant, La Forge Bar & Grill : un premier pas dans la bonne direction.
Mais Timothée aspire à mieux, veut être utile à la société, et retourne au cégep. Sa peur : tomber encore une fois sous l’influence de mauvaises personnes. C’est pourquoi il s’astreint à une routine exigeante. Il ne veut tellement pas replonger qu’il va au cégep même les jours où il n’a pas de cours pour réaliser ses travaux et étudier.
Puis, c’est lors de sa première année au baccalauréat en sécurité et études policières qu’il renoue avec le droit pénal et constitutionnel. Son professeur voit son don, son énorme potentiel. Toutefois, apeuré d’être encore une fois influencé, son mécanisme de défense se met en marche et il refuse catégoriquement de changer de programme. Mais Timothée finit par se rendre à l’évidence et se dirige en droit, puis en notariat où il excelle. Il reçoit même la bourse d’excellence du doyen de l’Université de Montréal.
À la fin de ses études, il réalise un stage dans un cabinet avant d’y être engagé. Toutefois, il se rend rapidement compte que la direction ne partage pas les mêmes valeurs et la même vision du notariat que lui. Sa phobie d’être influencé le pousse à prendre, une fois de plus, sa destinée en main, ce qui le mènera à fonder son propre cabinet, VSB notaires, avec deux autres collègues.
Aujourd’hui, il est fier d’avoir une entreprise à son image. Ce qu’il aime par-dessus tout dans son métier, c’est d’expliquer le plus simplement possible des notions abstraites afin d’aider les gens à faire de meilleurs choix, à prendre des décisions éclairées.
Timothée connaît les répercussions que peuvent engendrer de mauvais choix. Aider les gens constitue, en quelque sorte, une façon de compenser ses expériences de jeunesse.
Son parcours universitaire et professionnel est parsemé de distinctions : inscription à la liste d’excellence de la Faculté de droit pour la qualité de son dossier scolaire ; bourse de la Chaire du notariat ; Prix Spiegel Sohmer pour excellence en droit fiscal et commercial ; Prix d’excellence de la Chambre des notaires du Québec ; diplômé de la 4ème Université Mondial du Notariat qui s’est déroulée à Buenos Aires. Il a été inscrit au tableau de l’Ordre des notaires en 2016 et exerce sa pratique principalement en droit immobilier et en droit commercial et en droit des affaires. Il s’intègre de plus en plus au sein de la communauté juridique de la région de Mont-Tremblant, ville dont il est originaire. Timothée complète actuellement sa maitrise en fiscalité au HEC Montréal.
Timothée, que fais-tu pour décompresser et ne penser à rien ?
Il n’y a rien de mieux que d’écouter une émission — en ce moment, j’écoute The Walking Dead — en buvant une bonne bière (une… pas cinq !).
Mis à part ton métier, qu’est-ce qui te passionne ?
La bourse. J’aime regarder les mouvements boursiers et essayer de comprendre comment cela fonctionne.
Que retrouve-t-on sur ta table de chevet en ce moment ?
Petit cours d’autodéfense intellectuelle, de Normand Baillargeon. C’est la quatrième fois que je le lis. Même si je ne suis pas d’accord avec toutes ses prises de position, j’aime sa façon de mettre en lumière nos façons de réfléchir. Il s’agit d’une véritable initiation à la pensée critique.
Est-ce que tu veux des enfants ?
Dans le meilleur des mondes, j’aimerais en avoir quatre.
Timothée est un gars très intelligent à l’esprit cartésien.
Timothée est un homme hyper charismatique, sérieux et à la fois rigolo!